LCDC les carnets de correspondances

Le hall de mon immeuble a subi un attentat contre le bon goût. Le cliché témoigne de la violence de l'impact de ces atroces décorations de Noël, où le ridicule le dispute à la laideur, et qui outragent chaque jour ma vue. Combien d'autres immeubles, d'autres...

Surprise par la neige, se met à danser avec son parapluie, d’un pas feutré, à peine silencieux, elle tourne et cherche l’horizon qui disparaît sous une musique floconneuse.

J'aime pas l'hiver ! Il fait nuit tôt ! Il fait froid ! J'aime pas Noël ! Mais j'aime les lumières de l'hiver. Les discrètes du matin avec les premières nouvelles radio et l'odeur du café.

Les murs n'arrêtent pas. Deux mots sur celui-là. Une invitation à faire "amende honorable"? La ville n'est pas tranquille.

Là à côté Juste là Oui c’est ça Vous n’y pensiez pas Mais ça sera Parfait Oui la tête Comme ça Dans le vide Et un pied Sur une branche Vous respirez Mieux Maintenant Vous respirez Enfin Vous le sentez Ça vient de loin Presque du cœur Vous diriez Restez...

Une amie me faisait remarquer que les décorations de Noël se répandaient difficilement dans toutes les rues, et qu’elles s’entassent plutôt où les gens s’amassent pour acheter, acheter, acheter…. Mais acheter quoi bon sang de bon dieu, du bon vin ? Hélas...

I remember two mirrors reflecting endlessly my image... ... As a flower never reveals the secret of its scent fragancing the night, we recognize what we do not know because it is unfamiliar. And the passage in between the two mirrors reflecting for ever...

Henri Cartier-Bresson, 1938, bords de la Marne – Sophie Samama, 2009, bords de la Méditerranée : ce télescopage spatio-temporel est rendu possible par la photo, ou plus exactement, par le point de vue et la mémoire de la photographe de 2009. On pourrait...

© emmanuel vigier Et toujours la mort se promène. Cet été, voilà qu'elle se glisse dans les bras d'une jeune femme sur ce mollet musclé. Infatigable. La danse macabre continue. En tongues.